top of page
Toucher sensuel tantra

L’Éveil des Sens : L’Art du Toucher Bienveillant

Stagiaire du Centre Satori en méditation

La voie du Satori

Le mot de la fin pour notre ami Philippe

Motard de la gendarmerie

L'équipe de l'Union Départementale de la Gironde

A nos adhérents : connectez-vous aux infos de la plateforme Emeraude

Difficile à lâcher-prise

Pourquoi le lâcher-prise est-il si difficile ?

Thé à la menthe

Le thé à la menthe : Bien plus qu’une boisson, un rituel sacré d’hospitalité arabe

Jeune femme dans l'avion

Guatemala : L’Éveil des Sens entre Mayas, Volcans et Jungles Secrètes

Open Space

Analyse réalisée par l'I.A dans un esprit bienveillant et constructif pour nous aider à améliorer notre SEO

Stage de méditation organisé par le portail Nomad

Nomad' une invitation au voyage introspectif

Etudiants inscits chez Oued Beht

À la Châtaigneraie, ton avenir s’écrit avec Oued Beht : Des profs d’exception, un soutien scolaire qui change tout !

Esotérisme, carte du ciel

Ma définition de l'ésotérisme

Lingerie Concours Photos

Participez à notre exposition photo #lingerie sur Instagram !

Champ de lavande

La Provence en images : partagez vos plus beaux clichés avec #Provence

Sherpas du réseau SATORI en méditation

Ma définition de la spiritualité

Portugal

METADEXDAO, réponse aux doléances reçues par le comité d'éthique

Aventurier méditant

Partagez vos escapades avec #GeoBalad !

Justice

Attention au risque de complicité d’escroquerie ou de tromperie

Le thé, un héritage chinois… détourné par les Arabes

Oued Beht

8 novembre 2025

Berbère marocain

Le thé, un héritage chinois… détourné par les Arabes


  • qui l’importaient de Chine via la Route de la Soie. Mais ce sont les Arabes qui l’ont "arabisé" en y ajoutant des herbes locales comme la menthe, la sauge ou le thym, créant une boisson unique.

  • Un détournement malin : Au Maroc, on raconte que les marchands cachaient les feuilles de thé dans des balles de tissu pour éviter les taxes des caravanes. Les femmes berbères l’utilisaient ensuite pour parfumer leurs plats avant de découvrir son usage en infusion !


Le thé à la menthe, une invention "accidentelle" ?


  • Légende marocaine : Au XVIIIᵉ siècle, des marchands britanniques auraient offert du thé vert au sultan Moulay Ismail (grand bâtisseur de Meknès). Pour adoucir son amertume, on y aurait ajouté de la menthe sauvage des montagnes de l’Atlas… et du sucre, alors rare et précieux. Le mélange aurait conquis la cour, puis le peuple !

  • Symbole de résistance : Pendant la colonisation, le thé à la menthe est devenu un emblème de l’identité marocaine, un moyen de préserver ses traditions face à l’influence étrangère.


Le thé, monnaie d’échange et objet de pouvoir


  • Au Sahara : Les caravanes transsahariennes utilisaient les briques de thé compressé comme monnaie d’échange, au même titre que le sel ou l’or. Les Touaregs appelaient d’ailleurs le thé « l’or vert ».

  • Diplomatie par la théière : Au XIXᵉ siècle, les chefs de tribus scellaient des alliances en partageant un thé. Refuser de boire celui d’un rival équivalait à une déclaration de guerre !

  • Le sultan et son thé : Le sultan Hassan II du Maroc avait pour habitude de recevoir ses invités avec un thé à la menthe préparé de ses propres mains, un geste pour montrer son respect et son humilité.


Le thé, star des révolutions et des récits


  • Pendant le Printemps arabe : En Tunisie et en Égypte, les manifestants buvaient du thé dans les places publiques pour tenir les sit-in. Les théières devenaient des symboles de résistance pacifique.

  • Dans "Les Mille et Une Nuits" : Le thé est souvent mentionné comme une boisson magique, capable de guérir les maux ou de révéler des vérités. Une histoire raconte qu’un marchand de Bagdad aurait évité une guerre en offrant un thé parfumé à deux rois ennemis !

  • Le thé des poètes : Le célèbre poète Ibn Arabi (XIIᵉ siècle) écrivait que « le thé lave l’âme comme l’eau lave le corps ». Au Maroc, les conteurs des places Jemaa el-Fna boivent traditionnellement un thé avant de commencer leurs récits pour « purifier leur voix ».


Des rituels insolites


  • Le thé "à l’envers" des Bédouins : Dans le désert, les Bédouins servent parfois le thé en versant d’abord dans le verre de l’invité, puis dans le leur, pour montrer qu’ils ne craignent pas le poison (une vieille coutume de confiance).

  • Le thé des morts : En Algérie, lors des veillées funéraires, on sert un thé très sucré et parfumé à la fleur d’oranger pour « adoucir le passage de l’âme ».

  • Le thé des mariages : Au Yemen, la famille de la mariée offre un thé épicé (avec gingembre et cardamome) au futur époux. S’il le boit d’un trait, c’est signe qu’il accepte le mariage !


Le thé, un enjeu géopolitique


  • La "Guerre du Thé" arabe : Au XVIIᵉ siècle, les Anglais ont tenté d’imposer leur thé noir dans les colonies arabes, mais les populations locales ont boycotté la boisson, lui préférant le thé vert chinois… par patriotisme !

  • Le thé et le pétrole : Dans les émirats du Golfe, servir du thé (souvent parfumé à la rose ou au safran) est un moyen pour les chefs tribaux de montrer leur richesse… sans ostentation. Une théière en argent massif pouvait valoir plus qu’un chameau !


Pourquoi ces anecdotes résonnent encore aujourd’hui ?


Le thé dans le monde arabe, c’est : 

🔹 Un héritage de résistance (face aux colonisateurs, aux pénuries).

🔹 Un outil de diplomatie (pour sceller des paix ou des mariages). 

🔹 Un symbole de ruse et d’adaptation (mélanger menthe et sucre pour créer une identité unique). 

🔹 Un lien entre le sacré et le quotidien (des rituels funéraires aux discussions politiques).


« Un peuple sans thé est comme un jardin sans fleurs. » — Proverbe yéménite.


Administrateur

WEBNEWS
R.N.A : W332013750 / Préfecture de la Gironde

Rue de la Métropole 33600 PESSAC


Tél. +33 778 400 290
E-mail : contact@wnews.fr

LOGO_WNEWS_1-removebg-preview.png
bottom of page